15 Oct 2025
Catégorie: UNIL – Revues de presse
14 Oct 2025
Revue de presse Unil 14 octobre 2025
13 Oct 2025
Revue de presse Unil 13 octobre 2025
13 Oct 2025
«Bruno Le Maire, une erreur de casting»
Dans les colonnes ouvertes du Temps, l’entrepreneuse et essayiste Marie-Hélène Miauton critique sévèrement le choix de l’Université de Lausanne d’avoir recruté Bruno Le Maire comme professeur invité.
10 Oct 2025
Revue de presse Unil 10 octobre 2025
9 Oct 2025
Revue de presse Unil 9 octobre 2025
8 Oct 2025
Revue de presse Unil 8 octobre 2025
8 Oct 2025
Bruno Le Maire nommé professeur invité au Centre Enterprise for Society (E4S)
Démissionnaire hier du poste de ministre des Armées dans le gouvernement de Sébastien Lecornu et n’étant plus consultant chez ASML, «M. Le Maire reprendra cette semaine son rôle de professeur invité au centre Enterprise for Society (E4S) en Suisse. L’ex-locataire de Bercy a rejoint l’E4S en tant que professeur invité en septembre 2024 pour y enseigner dans ses trois institutions académiques (Université de Lausanne, EPFL et IMD International Institute for Management).»
7 Oct 2025
Revue de presse Unil 7 octobre 2025
6 Oct 2025
Revue de presse Unil 6 octobre 2025
3 Oct 2025
Revue de presse Unil 3 octobre 2025
2 Oct 2025
Revue de presse Unil 2 octobre 2025
1 Oct 2025
Revue de presse Unil 1er octobre 2025
30 Sep 2025
Revue de presse Unil 30 septembre 2025
30 Sep 2025
«Un «workshop» chic en Valais sème le trouble à l’Université de Lausanne»
«L’institution a cofinancé un événement à la montagne avec des chercheurs, des éleveurs et des industriels, dont Nestlé. Une initiative qui divise, en plein débat sur les coupes budgétaires.»
30 Sep 2025
«Encore. Un. Foutu. Point.»
Un article de la Liberté critique la tendance des marques d’intégrer un point final dans leurs logos – et l’investissement de l’UNIL dans un graphisme.
29 Sep 2025
Revue de presse Unil 29 septembre 2025
26 Sep 2025
Des historien·nes critiquent une «diffamation personnelle»
Après la décision du Tribunal fédéral autorisant la Ville de Zurich à recouvrir deux enseignes contenant le mot «Mohr» (jugé raciste), la controverse refait surface. La NZZ critique sévèrement l’étude de l’ETH Zürich qui avait servi de base à la décision et s’appuie pour cela sur un rapport inédit de l’historien indépendant Martin Illi, mandaté par le Patrimoine zurichois. Ce dernier reproche aux auteurs du rapport, Bernhard C. Schär de l’UNIL et Ashkira Darman, d’avoir parfois interprété les sources de manière unilatérale, même s’il ne nie pas le caractère discriminatoire des inscriptions.
Cependant, la NZZ transforme cette critique méthodologique en attaque personnelle : son rédacteur culturel Rico Bandle accuse Bernhard Schär d’idéologie, allant jusqu’à suggérer un lien indirect avec des mouvements pro-palestiniens accusés d’antisémitisme. La Weltwoche reprend et durcit ces attaques, mettant en cause la légitimité académique de Schär et laissant planer la question d’un retrait de son titre de professeur. Dans les commentaires, la polémique dérive en discours haineux.
Face à cela, près de 300 chercheurs et de nombreux professeur·es d’histoire de l’Université et de l’ETH Zurich prennent publiquement la défense de Schär. Dans une lettre ouverte à la NZZ, ils et elles dénoncent une tentative de délégitimation personnelle au lieu d’un débat scientifique transparent, soulignant que le recours à un rapport non publié comme base d’attaques médiatiques est contraire à l’éthique journalistique. Il y a également un appel de chercheur·es de l’UNIL.
Selon la professeure Monika Dommann, cette affaire dépasse le cas individuel : elle remet en cause le fonctionnement même de la recherche et vise à discréditer des approches critiques comme la théorie postcoloniale. La science, rappelle-t-elle, n’aboutit pas à des vérités figées, mais à des débats ouverts – ce que des attaques ad personam fragilisent.
Par ailleurs, certaines accusations à propos de M. Schär sont complètement fausses, par exemple le fait qu’il écrit 100 fois M*** dans son expertise, au lieu de «Mohr».
Selon la WOZ, Bernard Schär souhaite déposer plainte contre la NZZ auprès du Conseil de la presse. Rico Bandle ne lui aurait pas fait part des accusations avant de publier l’article.
26 Sep 2025
Revue de presse Unil 26 septembre 2025
25 Sep 2025
Budget 2026 du Conseil d’Etat vaudois: baisse de 20 millions dans les subventions pour l’UNIL
Le Conseil d’État vaudois a présenté hier son projet de budget 2026, avec 305 millions de coupes et 331 millions de déficit. Les départements de la santé et de la formation sont les plus impactés. La limite constitutionnelle du «petit équilibre» est respectée grâce aux coupes mais aussi grâce à l’utilisation de 493 millions de revenus extraordinaires issus de la fortune. Le Conseil d’Etat projette un retour à l’équilibre budgétaire à l’horizon 2030.
Pour contenir l’augmentation des charges, le Conseil d’État veut couper 165 millions dans les subventions qu’il accorde, dont 20 millions à l’UNIL. (24 heures) Les coupes totales pour le domaine des hautes écoles sont prévues à hauteur de 22 millions. (RTS)
17% d’économies seront réalisées sur le personnel de l’Etat pour un total de 51 millions. «Le gouvernement ne souhaite pas indexer les salaires en 2026», et «une contribution de crise – correspondant à 0,7% du salaire brut – sera prélevée sur chaque rémunération versée par l’Etat (sauf pour le personnel en formation, les auxiliaires non mensualisés et les fonctionnaires situés aux échelons 1 à 5 de leur classe). Mais le versement des annuités, en fonction de la progression usuelle, est pour sa part maintenu. Concrètement, cela aura pour effet que les salaires des employés jusqu’à l’échelon 21 de leur classe resteront stables, voire en légère progression. En revanche, les salaires des fonctionnaires aux échelons supérieurs de leur classe baisseront légèrement (137 francs par mois au maximum).» (Le Temps)
Le CHUV sera contraint d’économiser 24 millions de francs, mais n’aura pas de licenciements, a assuré Rebecca Ruiz. Il faut s’attendre à des projets reportés voire abandonnés, et des investissements différés. (La Cote)
Selon les secteurs, ces coupes seront partiellement compensées ces prochaines années par une augmentation des investissements de l’Etat, a expliqué Christelle Luisier. Frédéric Borloz l’a confirmée à propos des coupes dans l’enseignement et la formation professionnelle. (Le Courrier)
Les Vert·e, le Parti socialiste, Ensemble à Gauche et le POP (EP) ont annoncé rejeter le budget. Le PLR se dit satisfait. Les syndicats appellent à une mobilisation contre ces mesures d’économies le jeudi 2 octobre.