Dans les universités romandes, à l’exception de Fribourg, il y a une augmentation significative d’aides financières octroyées aux étudiant-e-s depuis le début du confinement. Géraldine Renggi, responsable du Bureau social de l’Université de Neuchâtel estime: «La plupart des requêtes concernent des étudiants qui ont perdu leur job et qui n’ont ni bourse cantonale, ni chômage, ni aide sociale, ni soutien familial.»
La HES Valaisanne a, par ailleurs, pris des dispositions : «échelonnement de payement de taxes semestrielle (500 francs), réduction de 50% des frais d’écolage […], participation aux coûts engendrés par le rapatriement d’étudiants en échange à l’étranger.»