Une année après la soutenance de thèse, entre 2,9% et 4,9% sont au chômage. Parfois, l’intégration sur le marché du travail est difficile parce que les diplômés ne sont pas conscients des compétences qu’ils peuvent offrir aux entreprises. Beaucoup d’entre eux n’ont jamais travaillé hors de l’université. Souvent, les entreprises reconnaissent les capacités suivantes : recherche, pensée stratégique, ténacité et capacité de s’imposer. Des centres carrières dans les universités conseillent de plus en plus souvent les doctorants. Le Programme national de qualification BNF de l’Université de Berne conseille et aide à tirer un bilan de ce qu’ils peuvent et souhaitent faire (ou non). Il met des diplômés en relation avec des programmes d’occupation non-payés chez des employeurs potentiels. L’objectif de ce premier travail est surtout de former un réseau. Une fois que les doctorants ont un emploi, ils courent moins le danger d’être au chômage au fil de leur carrière que des diplômés en master.
5 Avr 2017