L’ultimatum pour trouver un accord-cadre entre la Suisse et l’UE arrivera à échéance vendredi 7 décembre. En cas de non-accord, l’incertitude des conséquences rend l’arbitrage entre ces enjeux difficile ; si certain·e·s craignent des mesures de rétorsion de l’UE, notamment au niveau de l’équivalence boursière ou de la recherche, d’autres pensent que la Suisse pourra négocier sans perte significative des accords bilatéraux en temps voulu.
Christian Dorer, Rédacteur en chef du quotidien alémanique Blick, souligne cependant la situation actuelle de l’UE, qui pourrait l’inciter à refuser les régimes d’exception.