Alessandro Pelizzari dirigera la Haute École de travail social et de la santé à Lausanne (EESP) dès le 1er juin 2020. Il quitte ainsi son poste de syndicaliste chez Unia à Genève.
16 Jan 2020
16 Jan 2020
Alessandro Pelizzari dirigera la Haute École de travail social et de la santé à Lausanne (EESP) dès le 1er juin 2020. Il quitte ainsi son poste de syndicaliste chez Unia à Genève.
19 Déc 2019
La composition de la «commission de prospective» a été débattue ce mercredi au Grand Conseil vaudois. Le projet de Pascal Broulis proposait de s’entourer d’expert·e·s issu·e·s de l’UNIL, de l’EPFL et de la Haute école d’ingénierie et de gestion (HEIG) afin d’aider le gouvernement à se faire une idée des enjeux auxquels il ferait face dans les vingt prochaines années, comme la Constitution du Canton de Vaud le demande (art. 72).
Le projet n’a pas passé pour diverses raisons : certain·e·s aimeraient accorder une plus grande place à la société civile. Pascal Broulis regrette cette décision: «Discuter avec des personnes des hautes écoles permet de «checker» la synthèse des grands enjeux de société.»
3 Juil 2019
Depuis une semaine, le Grand Conseil vaudois a accepté l’initiative du PLR dont l’ambition était de faire du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) un établissement autonome de droit public, avec à sa tête un conseil d’administration.
Cependant, ce changement de gouvernance inquiète les milieux de la recherche pour plusieurs raisons. La première crainte concerne les nominations qui risquent d’être bloquées par ce nouvel organe. La deuxième inquiétude est liée aux sources de financement, qui malgré les contrats de prestations existant entre l’université et le CHUV, risquent de changer de fonds. Et la manière de répartir le budget – provenant actuellement du Département de la formation – n’étant pas claire, le conseil d’administration pourrait décider d’effectuer un réajustement qui ne fera pas l’unanimité.
Finalement, le dernier risque est lié à la réputation de l’hôpital cantonal qui devient une question politique, et dont l’image pourrait se voir entaché de tous ces possibles changements.
25 Juin 2019
Cesla Amarelle a présenté ce lundi «les grands axes de la politique culturelle vaudoise» en présence de la presse. Le Conseil d’État a opté pour le redéploiement des musées et de la bibliothèque universitaire dans le bâtiment de style «néo-Renaissance florentine».
«Le projet d’Avenches sera un musée de site, et le Musée d’archéologie et d’histoire restera ici, à Rumine», indique Nicole Minder, Cheffe du Service des affaires culturelles.
«Cette idée de Palais des savoirs permet une interaction entre la science et l’art, ce qui n’est pas du tout le cas du Musée cantonal des beaux-arts. On revient à cette mission historique de l’académie.», précise Cesla Amarelle.
L’Université de Lausanne a joué un rôle dans le maintient de ces institutions dans la capitale vaudoise.
Cesla Amarelle tient également à mettre en avant le jeune public et les écoles, «La démocratisation de la culture ne peut passer que par l’école».
20 Juin 2019
Le canton de Vaud, porté par Cesla Amarelle, Conseillère d’État chargée de la Formation et de la Culture, à l’origine du projet, vient de lancer un appel à projets dans le but de soutenir la production de jeux vidéo, un art qui occupe une place de choix dans l’industrie du divertissement.
Un pactole de 50’000, à partager entre divers projets originaux, artistiques et pouvant être commercialisés, est à la clé de cet appel qui court jusqu’au 26 juillet.
D’après Cesla Amarelle, «Nous sommes, semble-t-il, le premier canton à lancer un tel appel à projets. […] Je crois au potentiel du jeu vidéo comme source de connaissances et de réflexion.»
Au niveau mondial, l’industrie du jeux vidéos pourrait atteindre un chiffre d’affaires de 127 milliards de francs à la fin de l’année. En 2018 en Suisse, cette branche a enregistré un produit de 276 millions.
14 Fév 2019
Le professeur Philippe Eckert sera dès 2020 le futur directeur général du CHUV à Lausanne. Il succédera à la fin de l’année à Pierre-François Leyvraz, qui s’en va après 11 ans à la tête de l’hôpital universitaire.
Philippe Eckert entend renforcer les partenariats avec d’autres hôpitaux, à l’instar des HUG à Genève, des cliniques privées ou avec des centres de recherche comme l’EPFL et les universités. Ce sont des collaborations « gagnant-gagnant », a-t-il assuré.
5 Fév 2019
La Policlinique médicale universitaire (PMU) fusionne avec plusieurs structures académiques, notamment l’Institut universitaire de médecine sociale et préventive (IUMSP), l’Institut romand de santé au travail (IRST), la Promotion Santé Vaud (ProSV) et le Programme cantonal Diabète. La Faculté de biologie et de médecine de l’UNIL y est également associée. Le nouveau centre appelé Unisanté entend rassembler les forces de ces différentes institutions afin de répondre aux besoins de la population, tels que son vieillissement et l’augmentation des maladies chroniques.
13 Nov 2018
L’État du Canton de Vaud, propriétaire des bâtiment du campus de l’UNIL, a demandé une enveloppe de 16 millions CHF au Grand conseil vaudois afin de rendre le parc immobilier moins énergivore. En effet, avec à la fois des bâtiments datant du 18e siècle pour les plus anciens et une population estudiantine croissante, la consommation énergétique annuelle de l’université entre dans la catégorie de celle de «grand consommateur» d’après la loi sur l’énergie ; or cette loi exige une baisse de consommation énergétique pour cette catégorie.
Yann Jeannin, directeur du Service Unibat de l’UNIL, attend la réponse des député·e·s en début d’année prochaine et annonce qu’une deuxième demande, d’un montant du même ordre, devrait être formulée dans environ cinq ans pour répondre à l’engagement de 30% d’économie d’énergie pris envers la Confédération.
28 Sep 2018
Le PLR Vaud ne veut plus que le centre hospitalier universitaire vaudois dépende directement du Département de la santé et de l’action sociale (DSAS) dirigé par le socialiste Pierre-Yves Maillard.
Est-ce que l’on se dirige vers une privatisation? «En général, c’est l’étape suivante, oui», explique ce dernier. «Certains ne peuvent pas supporter qu’il y ait un service public. Des investisseurs privés veulent ces parts de marché. C’est une simple lutte permanente pour le chiffre d’affaires», conclut-il. Le PLR rejette l’analyse du ministre: «L’Université de Lausanne est aussi un établissement autonome de droit public
et il reste en mains publiques.» Reste que l’Unil n’a pas de conseil d’administration. «Mais il existe un conseil de l’université qui correspond à une sorte d’administration», ajoute Florence Bettschart-Narbel, députée du PLR.
16 Juil 2018
Le professeur de droit de la santé Dominique Sprumont est le nouveau président de la Commission cantonale [vaudoise] d’éthique de la recherche impliquant des êtres humains. Dans un interview il présente sa vision de son travail.
16 Juil 2018
Pour suivre la courbe démographique du Canton de Vaud et l’ouverture planifiée de 50 à 90 classes par année, la Haute École pédagogique (HEP) table sur une augmentation de ses effectifs de 19% d’ici à 2022. Le budget passera de 54 à 74 millions par année, selon des prévisions internes. La Direction de la HEP équivoque l’idée de solliciter auprès du Conseil d’Etat la mise en place d’un numerus clausus dans le cas où des ressources financières supplémentaires ne seraient pas allouées.
9 Mar 2018
Les cantons de Vaud, du Valais, de Fribourg et la Ville de Lausanne ont décidé de stopper «l’hémorragie» à la Haute École de musique (HEMU). Le directeur général, Hervé Klopfenstein, est mis à pied. Quant à l’école, elle est désormais sous tutelle de l’État. Principaux bailleurs de fonds de cette institution, les trois cantons et Lausanne exigent une refonte totale de la HEMU et de son conseil de fondation. Dominique Arlettaz, ancien recteur de l’Université de Lausanne, est chargé d’opérer une refonte fondamentale de la HEMU et de son conseil de fondation d’ici à l’été. Il définira «quelles décisions doivent être prises par qui» et reconnaît que le conseil de fondation de droit privé est souverain, «mais cela ne nous empêche pas de poser des questions».
19 Fév 2018
L’Office fédéral de la statistique (OFS) a récemment publié une étude qui montre que 15% des vaudois sous l’âge de 25 ans n’ont pas un diplôme en poche. Ceci est le taux le plus élevé en Suisse.
Cesla Amarelle, cheffe du Département de la formation, de la jeunesse et de la culture, souhaite revaloriser la formation professionnelle, «un moyen plus sûr que les hautes études pour ouvrir les portes de l’emploi.»
Selon Lise Bourgeois (PS, VD), journaliste pour le «24 heures», «à l’heure de la numérisation et de l’implacable logique binaire, des têtes formées à une réflexion ample et humaniste restent […] également nécessaires. Le choix, certes pertinent, de porter plus d’attention au secteur de la formation professionnelle ne devrait donc pas oblitérer les autres parcours, même moins efficaces.»
15 Juin 2017
A partir du premier juillet 2017, Cesla Amarelle succédera à Anne-Catherine Lyon et reprendra le Département de la formation, de la jeunesse et de la culture. L’organisation interne du Conseil d’Etat sera marquée par la volonté de valoriser et renforcer l’efficacité de politiques transversales essentielles : l’insertion et l’innovation, a encore fait savoir le canton. Nouria Gorrite présidera le Conseil d’Etat et se chargera du nouveau dossier de la stratégie numérique de l’état. Pierre-Yves Maillard conserve le Département de la santé et le social. Il s’occupera en plus du dossier des bourses, jusqu’à maintenant dans le Département de la formation.
22 Mai 2017
Ce sont la verte Béatrice Métraux et la socialiste Cesla Amarelle qui ont été élues au deuxième tour des élections à l’exécutif vaudois. Le département de la formation et de la culture, laissé vacant par Anne-Catherine Lyon, n’a pas encore été attribué.