Entre le semestre de printemps 2022/23 et celui de l’année avant, l’OFS constate une baisse de 0.6%. Cette baisse est plus significative concernant les nouveaux membres du corps étudiant en Suisse.
Une des raisons derrière ce développement est le taux de natalité qui était en baisse dans le début des années 2000, une autre serait, «selon des expert-es», le développement économique incertain qui décourage actuellement certain-es à étudier.
Les Sciences sociales et Lettres sont particulièrement touchées. La linguiste émérite de l’Université de Zurich Angelika Linke avait conclu dans un article de la NZZ am Sonntag, [paru le 04.12.2023] que l’autoformation pour devenir un être humain intellectuel n’est plus aussi attractif – que la promesse de connaissances directement exploitables sur le plan économique.