L’Université de Lucerne a crée un fonds de soutien aux étudiant·e·s réfugié·e·s qui n’auraient pas les moyens de suivre leurs études. Ce fonds doté de 130’000 CHF est partiellement financé par des tiers.
13 Août 2021
13 Août 2021
L’Université de Lucerne a crée un fonds de soutien aux étudiant·e·s réfugié·e·s qui n’auraient pas les moyens de suivre leurs études. Ce fonds doté de 130’000 CHF est partiellement financé par des tiers.
28 Avr 2021
«Le projet INVOST – Integrationsvorstudium an Fachhochschulen-, a pour objectif de permettre aux HES de développer une offre destinée à des personnes réfugiées et requérant·e·s d’asile. Elles pourront, pour la première fois, se préparer par le biais d’un programme d’intégration à des études supérieures dans une haute école spécialisée. Ce projet comble ainsi une lacune dans le paysage tertiaire qui ne proposait que quelques offres de ce type, principalement dans des universités.»
22 Fév 2021
L’article présente le travail de l’association estudiantine Orientation-Formation-Information (OFI) de l’Université de Fribourg, qui soutient les étudiant-e-s réfugié-e-s dans leur intégration dans l’Université.
30 Oct 2020
«Dans de nombreux pays, la vie, la liberté ou le bien-être des scientifiques sont menacés en raison de leurs travaux ou de leurs opinions. Par l’intermédiaire du réseau Scholars at Risk, le FNS finance désormais des séjours de recherche en Suisse.»
20 Oct 2020
A l’Université de Genève, un programme appelé «Horizon académique» permet aux réfugié-e-s qui ont déjà une expérience universitaire de suivre des cours universitaires pendant une année. Ce programme sert de passerelle, et les participant-e-s auront ensuite le droit de s’immatriculer à l’université, ce qui leur ouvre des perspectives d’avenir professionnel et d’intégration sociale.
28 Août 2019
À l’Université de Genève (UNIGE), le projet «Archéologie solidaire» prévoit une collaboration entre l’institution et des migrant·e·s en Sicile.
La demande est venue des autorités italiennes qui ont contacté l’UNIGE, laquelle dirige les fouilles de la ville antique de Lilybée. Elles ont ainsi demandé à l’institution s’il était possible d’employer ainsi que d’encadrer des réfugié·e·s logé·e·s à quelques kilomètres du site. L’UNIGE a tout de suite répondu par la positive.
D’après Lorenz Baumer, Co-directeur des fouilles et Professeur à l’UNIGE, «Il s’agit d’une opération win-win (…) Nos travaux avancent plus vite grâce à eux et d’un autre côté, ils bénéficient d’un emploi, certes temporaire, tout en acquérant une formation.»
Par ailleurs, la doctorante Marie Drielsma souligne, «Les jeunes réfugiés ont pu sortir de l’isolement de leur centre d’accueil et les échanges ont été incroyables. Ils nous ont fait profiter de leur expérience technique acquise dans leur pays, comme le maniement de certains outils. Ils posaient aussi plein de questions sur l’histoire du site. Nous avons par ailleurs beaucoup parlé de leur vécu et partagé de nombreux moments festifs, comme des repas ou des baignades.»
10 Nov 2017
L’Université de Genève a reconduit son programme d’intégration intitulé Horizon académique. Cette année, 46 réfugié·e·s sont inscrit·e·s, contre 35 l’an passé. Ils et elles suivent des cours universitaires en tant qu’auditeurs·trices et des cours de français en vue d’une admission au cursus normal. Selon Le Journal de l’UNIGE, 10% des réfugié·e·s en âge de travailler à Genève sont des universitaires.
21 Juin 2017
Julien Eggenberger, député PS et enseignant, appelle à renforcer les mesures d’accès des réfugié·e·s aux hautes écoles. Selon lui, il faut étoffer les possibilités existantes à l’UNIL et les élargir aux autres hautes écoles vaudoises, en développant d’une part un programme de mise à niveau linguistique spécifique aux hautes écoles et d’autre part un accompagnement, par exemple par mentorat.
31 Mai 2017
L’Université de Genève a présenté aux Nations Unies à New York son programme qui permet à des personnes vivant dans des camps de réfugié·e·s d’accéder à une formation universitaire. Dès septembre prochain, l’Université inclura par ailleurs dans le bachelor de relations internationales un cours donné en collaboration avec l’Université de Princeton, dans lequel des étudiant·e·s des deux universités travailleront avec des réfugié·e·s de camps kényan et jordanien sur des projets de recherche sur la migration forcée.
24 Avr 2017
Une section suisse de l’organisation Scholars at Risk, qui défend les chercheurs·euses menacé·e·s dans le monde, a été créée. Ses fonds proviennent de dons, la Confédération ne participant pas au projet. Olivier Vincent, responsable des relations internationales de l’Université de Genève et membre de Scholars at Risk, veut créer des chaires professorales spécifiquement pour les scientifiques persécuté·e·s dans leur pays d’origine. Engim Sustam, qui a fui la Turquie et est désormais chercheur à l’UNIGE, appelle à la création d’un fonds pour les scientifiques, non seulement de Turquie, mais du monde entier, devant fuir leur pays pour des raisons politiques.
30 Mar 2017
Dans les universités de certains pays, des initiatives ont vu le jour pour offrir une nouvelle chance aux scientifiques en exil. L’Allemagne a notamment mis en place de nombreux programmes pour faciliter l’accès des réfugié·e·s aux institutions de recherche. En Suisse, des mesures ont été prises pour favoriser l’intégration dans le monde académique, même si la possibilité de trouver un travail dans une université suisse reste limitée. L’article fait une analogie avec les scientifiques qui ont fui l’Allemagne nazie et qui ont apporté leur savoir et leur créativité aux pays qui les ont accueillis.