La Suisse souhaite approfondir la coopération dans la recherche avec l’Iran. Or, les chercheur·euse·s d’Iran (de Corée du Nord, de Cuba, du Soudan et de Syrie) n’ont actuellement pas accès à certains projets et laboratoires de haute technologie, issus de partenariats de hautes écoles avec des entreprises sous juridiction américaine ou étrangère. Comme l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich ETH travaille souvent avec ces entreprises, des doctorant·e·s iranien·ne·s sont exclus des laboratoires qui se trouvent dans cette société, mais qui sont normalement accessibles pour des doctorant·e·s. Un chercheur iranien regrette que l’ETH ne conclue pas d’accords de coopération qui permettraient l’accès aux laboratoires sous certains conditions. Ce type d’accord existe par exemple au CERN.