Un plan d’action cherche à remédier à la sous-représentation des femmes dans les postes à responsabilités à l’Université de Lausanne, avec notamment l’objectif d’engager au moins 40% de professeures. Si les femmes ont généralement des parcours moins linéaires que les hommes à cause d’une plus difficile conciliation entre carrière et vie familiale, ce qui freine leur avancée professionnelle, elles sont aussi mises de côté de façon plus concrète : un professeur accordera plus souvent une position de mérite à un chercheur ou proposera plus facilement à un homme de se rendre à une conférence.
L’article du Courrier a également été publié dans La Liberté.