Face à la crise en Iran, les étudiant-es iranien-nes en Suisse, subissent beaucoup de pression. Plusieurs étudiant-es à Lausanne témoignent d’un manque de soutien, que cela soit à l’EPFL ou à l’UNIL.
Frédéric Herman, recteur de l’UNIL, se dit «un peu surpris, parce que des ressources existent». Il lui semble qu’il y a une méconnaissance des ressources à disposition, que cela soit par rapport au soutien psychologique ou financier et par rapport à une potentielle prolongation des études «en cas de force majeure». Il évoque notamment la création d’un groupe de travail avec l’association UNIL sans frontières et avec des collaborateurs-rices des services pour lever les barrières administratives et celles par rapport à la langue, qui s’inscrivent dans le plan d’intention de l’UNIL publié en 2022.