Frédéric Herman, le nouveau recteur de l’UNIL, décrit l’approche systémique que l’institution académique emploie en faveur de la transition écologique.
20 Juil 2021
20 Juil 2021
Frédéric Herman, le nouveau recteur de l’UNIL, décrit l’approche systémique que l’institution académique emploie en faveur de la transition écologique.
20 Juil 2021
19 Juil 2021
16 Juil 2021
15 Juil 2021
14 Juil 2021
13 Juil 2021
Dominique Vinck, professeur en études sociales des sciences et des techniques à l’Université de Lausanne (UNIL), réagit à l’article de Heidi.News sur le harcèlement des doctorant·e·s. A son tour, il tente d’éclairer le phénomène tout «en évitant les analyses simplistes qui rajoutent de la souffrance à la souffrance».
Il souhaite alors analyser les dynamiques de façon à éviter les explications réductrices qui ramènent la diversité des situations à une problématique universelle de relation entre supervisé·e et superviseur·euse. Selon le professeur, l’insatisfaction des doctorant·e·s tient surtout à un manque d’encadrement qu’à un excès. «Le sentiment d’un déficit de suivi et de communication est deux à quatre fois plus fréquemment mentionné que le manque de liberté, le dirigisme, l’abus de pouvoir […] ou le harcèlement psychologique.». Puis, les vécus varient fortement selon le cadre donné dans chaque discipline et de l’implication professionnelles des encadrant·e·s aux thèses des doctorant·e·s, ajoute-t-il.
Il tient également à parler du vécu des encadrant·e·s, pour montrer que cette position peut engendrer autant de souffrances que de bénéfices. «Les privilèges et les pouvoirs relatifs dont ils disposent, ne les protègent ni des souffrances psychologiques ni des pressions de l’environnement. Des rumeurs circulent et des encadrant·e·s sont stigmatisé·e·s, voire «remercié·e·s» par leur institution pour harcèlement psychologique, d’autres sont privé·e·s de ressources ou mis·e·s au placard.»
13 Juil 2021
12 Juil 2021
9 Juil 2021
8 Juil 2021
7 Juil 2021
6 Juil 2021
5 Juil 2021
2 Juil 2021
1 Juil 2021
30 Juin 2021
29 Juin 2021
Début août, le spécialiste des interactions entre le changement climatique et l’évolution des montagnes, Frédéric Herman prendra ses nouvelles fonctions en tant que recteur de l’Université de Lausanne (UNIL). Son début est marqué par des conditions particulières pour le monde académique suisse. Après l’enterrement de l’accord-cadre avec l’Union européenne (UE) et l’exclusion de la Suisse de Horizon Europe en tant que pays associé, le nouveau recteur évalue l’impact pour la place internationale de l’UNIL dans un interview avec la Liberté.
Sur le long-terme, il évoque la crainte qu’une exclusion aux programmes de recherche amènerait une perte de visibilité. Alors que la mobilité estudiantine reste assez stable malgré les bouleversements récents, il évoque que «pour le reste, c’est le même problème: si vous restez absents trop longtemps, vous êtes oubliés.»
Plus généralement, il veut mettre l’accent sur la question de la précarité que la crise sanitaire à mis en exergue. «L’université a un rôle important à jouer dans la sortie de crise, elle va s’engager, mai il est trop tôt pour donner des éléments concrets. Nous avons besoin d’un campus vivant, au quotidien comme pour la recherche et l’émulation». La durabilité et l’égalité des chances seront également deux axes très fort de cette nouvelle direction de l’UNIL.
29 Juin 2021
28 Juin 2021