La direction de l’Université de Lausanne (UNIL) mène depuis avril 2020 un processus visant à cadrer la prise de parole de son corps professoral concernant des sujets militants et activistes. Une charte ou un code de bonne conduite sera proposé prochainement.
Antoine Chollet, enseignant et chercheur en sciences politique à l’UNIL, réagit à l’intervention de la rectrice Nouria Hernandez sur ce sujet. Pour lui, être membre actif d’un groupe militant est compatible avec le poste de professeur·e. En tant que citoyen-nes, tout scientifique est protégé par les règles de la liberté d’expression.