«Après une dénonciation concernant un professeur renommé de théologie à la fin des années 1990 à l’Université de Lausanne, l’Eglise réformée et l’Etat de Vaud se sont accordés secrètement. Une affaire – à laquelle s’ajoute au moins une autre – qui ressort alors que les Eglises réformées suisses ont renoncé à enquêter sur d’éventuels abus» (Le Temps)
«Pour Vincent Guyaz, pasteur et vice-président du Conseil synodal de l’Église réformée vaudoise, cette affaire pointe effectivement son institution, « mais il faut remettre chaque chose à sa place », rectifie-t-il au micro de Forum. « Les faits incriminés auraient eu lieu dans le cadre de la faculté de théologie de l’Université de Lausanne. Ce n’est donc pas au sein de l’Eglise réformée vaudoise que ça a eu lieu. » (RTS Forum)
La marge de manœuvre de l’Unil est pourtant restreinte à ce moment-là, parce que le professeur qui est accusé d’abus sexuel dans au moins deux cas est déjà à la retrait et faute de plainte pénale et de preuves tangibles. (Le Temps)