Type de veille: L'UNIL dans les médias

La Rectrice de l’Université de Lausanne Nouria Hernandez ne briguera pas de deuxième mandat, selon un article paru dans La Liberté.

Par rapport à la pandémie actuelle, elle lance: «J’espère que cette expérience du Covid-19 va remettre dans la tête des gens, si certains en doutaient, qu’il est important de faire de la recherche et que les résultats puissent être communiqués à la population, aux politiciens et que ceux-ci en tiennent compte.»

La votation sur la limitation de la libre circulation des personnes, reportée au 27 septembre, l’inquiète: «Il est essentiel que la Suisse fasse partie des projets européens au niveau le plus élevé possible dans le rang des partenaires.»

Philippe Moreillon, ancien vice-recteur de la recherche à l’Université de Lausanne, a été élu président de l’Académie des sciences naturelles (SCNAT).

La crise sanitaire a engendré une baisse des publications scientifiques féminines: «La tendance, confirmée dans d’autres revues scientifiques, s’explique par une plus grande implication des femmes dans les responsabilités domestiques et familiales depuis le début confinement, les empêchant de consacrer du temps à leurs recherches. Alors que le nombre de publications est un élément primordial des carrières académiques, le fameux «publish or perish», le phénomène inquiète.»

La Suisse ne semble pas échapper au phénomène.