12 Avr 2017
Le paradoxe européen : pourquoi la mobilité scientifique n’a pas accru les collaborations internationales
Une nouvelle étude suggère que la facilitation de la migration scientifique peut, paradoxalement, réduire les collaborations internationales. Quand des chercheurs·euses réputés d’Europe de l’Est ont commencé à rejoindre les plus influentes institutions d’Europe occidentale, leurs collègues et étudiant·e·s de l’Est ont fini par être moins bien intégrés dans les réseaux scientifiques internationaux.