8 Déc 2022
Le langage inclusif à l’EPFL est sans point médian
Dans un souci d’inclusions de tous et toutes, la Vice-présidente de l’EPFL pour la transformation responsable Gisou van der Goot partage avec la communauté de l’EPFL quelques règles d’écriture qui permettent de rendre visible autant les hommes que les femmes. Elle précise également que ces quelques règles ne seront pas imposées au corps étudiant, qui ne serait pas non plus pénalisé sur ses résultats dans le cas où le langage inclusif n’est pas utilisé.
Le responsable de la correction en Suisse romande de du Groupe Tamedia, Nicolas Fleury prend également position par rapport au langage inclusif dans les publications qu’il supervise. Selon la politique de sa maison d’édition [24 heures, Tribune de Genève, 20 minutes etc.], les personnes invité-es sont libres de s’exprimer comme ils et elles le souhaitent. Quant aux journaux, les règles typographiques du langage inclusif ne sont pas appliquées, mais dans la mesure du possible, le langage épicène est utilisé pour une meilleure représentation des genres.