8 Août 2023
L’EPFZ ne révèle aucune information concernant les étudiant·es iranien·nes
Après les nombreuses discussions à propos du transfert de connaissances de la part des étudiant·es chinois·es vers la Chine, maintenant l’attention se porte sur «ce que les étudiant·es iranien·nes apprennent [dans les hautes écoles suisses]». L’Institut Paul Scherrer (PSI) explique qu’il accueille 8 étudiant·es et chercheur·es et que «[l]eurs recherches se concentrent sur la chimie, la physique et l’imagerie […], dans le domaine de la simulation et de la modélisation (de systèmes d’accélérateurs) ainsi que sur la biologie et la médecine […]». En Suisse il n’y aurait pas «autant d’Iraniens immatriculés qu’à l’ETH de Zurich : 100 personnes», mais l’auteur de l’article ajoute que l’EPFZ «ne veut pas donner d’informations sur ce que les étudiants iraniens apprennent. La protection de la personnalité l’emporte sur l’intérêt de la sécurité publique».