2 Mai 2017
« Il y a deux révolutionnaires à la tête de l’UNIL et de l’EPFL
Dans un entretien avec Nouria Hernandez (UNIL) et Martin Vetterli (EPFL), on apprend notamment que l’UNIL souhaite davantage s’ouvrir au secteur privé afin que les étudiant·e·s puissent tisser des réseaux. « Pour y arriver, nous aimerions développer des cours dans lesquels on leur donnerait quelques bases sur l’entreprenariat. S’agissant du financement par le privé, il serait dommage de l’exclure. […] Si l’indépendance de la recherche est garantie, ça ne pose pas de problème. »
Quant au campus qui sera bientôt habité grâce au futur bâtiment Vortex, l’université se prépare déjà aux changement, qui va demander des adaptations des infrastructures. Martin Vetterli ajoute que c’est « A nous d’éviter de n’être que des geeks enfermés dans leurs labos, comme dans les « cloches de verre » que l’on voit sur certains campus américains.»