16 Avr 2024
EPFZ: «Il n’y a pas de haine structurelle d’Israël»
Depuis quelques semaines, des professeur-es, doctorant-es assistant-es et un groupe pour la diversité du département de l’EPFZ sont soupçonnés d’avoir tenus des propos antisémites. Récemment, les étudiant-es avaient invité l’architecte et activiste français Léopold Lambert. Celui-ci voit les terroristes islamistes comme combattant-es de la liberté et ne souhaite pas se distancer de la violence. La Direction de l’EPFZ a donc annulé cet événement et a été accusé de censure par la suite.
Dans une interview, le recteur Günther Dissertori prend pour la première fois position sur les événements, en compagnie de Matthias Kohler, chef du département d’architecture, et de Philip Ursprung, directeur de l’Institut d’histoire et de théorie de l’architecture. Matthias Kohler assure : «Il n’y a pas de haine structurelle d’Israël et je ne vois pas d’antisémitisme non plus.». Et le recteur Günther Dissertori ajoute: «l’EPFZ est toujours dans une bonne situation, nous n’avons pas l’extrême polarisation que l’on trouve ailleurs.»