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1 Oct 2024

Les quotas de médecins de campagne, un modèle à suivre?

  • Enseignement

Dans le cadre des coûts de la santé qui prennent l’ascenseur, l’abandon du numérus clausus en médecine par le parlement et en prenant en compte le souhait de beaucoup de jeunes médecins de travailler à temps partiel, le rédacteur en chef de la NZZ am Sonntag Beat Balzli propose l’introduction d’un contrat entre les diplômés et le pays qui investit dans l’avenir des soins de santé. «Ceux qui abandonnent doivent rembourser une partie des frais d’études, ont suggéré les professeurs émérites Erich W. Russi et Johann Steurer dans un commentaire invité dans la NZZ [du 03.01.2024]. Mais pourquoi ne pas aller plus loin ?» En Bavière, par exemple, il n’est pas nécessaire d’avoir une très bonne note dans la maturité, un «Superabi», pour être admis dans un certain nombre d’établissements. En contrepartie, les diplômé-es s’engagent à travailler ensuite pendant dix ans comme médecin généraliste dans une «zone de besoin». Celles et ceux qui ne respectent pas cette obligation doivent payer 250’000 euros. «Cela ressemble un peu à de la contrainte et à de l’économie planifiée, c’est certainement optimisable, mais cela mérite réflexion», conclut le rédacteur en chef.

  • formation – médecins
  • numerus clausus
  • 03.01.2024 – Neue Zürcher Zeitung – Vom Traumberuf zum Teilzeitjob
  • 29.09.2024 – NZZ am Sonntag – Wer Medizin studiert, soll sich verpflichten
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