Dans les hautes écoles suisses, plus de 80% des enseignant-e-s/chercheurs-euses ont un contrat à durée déterminée, souvent accompagnés d’un financement lié à un projet de recherche particulier. La limitation de voyager, l’impossibilité de se réunir ou de consulter les bibliothèques et centres d’archives ont causé d’importants retards dans les travaux de chercheurs-euses. La section vaudoise du Syndicat des services publics (SSP Vaud) demande dans un communiqué du 22.02.2021 une prolongation d’au moins un an des contrats précaires.
A l’heure actuelle, l’Université de Lausanne (UNIL) n’a pas encore pu prendre position, faute de temps.