Les chercheurs d’Israël, de Suisse, de Grande-Bretagne et d’autres pays non membres de l’UE pourraient être autorisés à participer aux projets de recherche quantique et spatiale de l’UE, en vertu d’un accord conclu cette semaine entre les représentants des États membres et la Commission européenne. Cette dernière doit encore confirmer cet accord, selon la porte-parole, les discussions sont encore en cours.
Concernant Horizon Europe, «Cette décision donnerait également un nouvel élan aux discussions d’association avec Israël, la Suisse, le Royaume-Uni et d’autres pays.»
Selon Jean-Eric Paquet, Directeur général pour la recherche et l’innovation de la Commission européenne, la Suisse serait bienvenue à Horizon Europe, pour autant qu’elle respecte les principes de la science ouverte du programme.