«Après la dénonciation des discriminations et violences sexistes à l’EPFL, des étudiant.es et employé.es de l’Université de Lausanne partagent leurs témoignages sur le compte Instagram @payetonunil, créé ce lundi par le Collectif de la grève féministe. Une quinzaine de témoignages ont été publiés, d’autres sont parvenus au collectif au cours de la journée. Ils concernent des attouchements, regards déplacés, allusions sexuelles ou encore dénigrement de la maternité.» Le Collectif souhaite dénoncer le manque d’action de la direction.
Géraldine Falbriard, porte-parole de l’Université, affirme qu’il existe une tolérance zéro face au harcèlement. Elle ajoute : «les outils [pour lutter contre l’harcèlement] existent, mais qu’il faut que les gens osent les utiliser.»