Cinq chercheur·es ont sollicité plusieurs fois les autorités allemandes et les fabricants de vaccins et médicaments à ARNm pour qu’ils leur montrent les études toxicologiques sur les nanoparticules des vaccins contre le COVID-19. Andreas Schnepf, Professeur de chimie inorganique à l’université de Tübingen (Allemagne), et Martin Winkler, Professeur dans le domaine de recherche des revêtements polymères à la Haute école des sciences appliquées de Zurich, ont été interviewé et ont expliqué quels sont les motifs qui les ont amenés à proposer un moratoire sur les vaccins et les médicaments à ARNm.
Ces deux chercheurs déplorent qu’il n’y ait pas d’accès sur les résultats des tests pour l’utilisation des nanoparticules sur l’homme et se doutent de l’explication fournie par l’autorité allemande d’autorisation, l’Institut Paul-Ehrlich, à savoir: «si les nanoparticules font partie d’un produit autorisé, alors elles sont automatiquement autorisées». Il s’agit, pour les chercheurs, d’une «interprétation […] totalement nouvelle». En plus, «Pfizer aurait dû fournir de telles études de toxicité, mais ces exigences […] ont tout simplement été abandonnées lors de l’autorisation régulière des vaccins». Les chercheurs expliquent qu’«auparavant, les médicaments étaient retirés du marché parce qu’il y avait peu de décès. Maintenant, il y a des milliers de personnes gravement atteintes et beaucoup plus de décès liés à la vaccination et on continue comme si de rien n’était».
Monsieur Schnepf et Monsieur Winkler craignent que «cela devienne la norme et que cela se répète», raison pour laquelle ils demandent un moratoire sur les vaccins et les médicaments à ARNm, et qu’ils pensent qu’un débat scientifique soit urgent.