«Au Swiss RNA Therapeutics Summit, fin janvier, tout le monde était convaincu que la molécule d’ARN est théoriquement capable de traiter ou de guérir de très nombreuses maladies. Des opportunités que la Suisse aborde à petit bras, en sabordant un programme de recherche à Zurich. Pour autant, Roche, Novartis et tant d’autres réinvestissent massivement le domaine. […]
Ce programme de recherche touchant à sa fin, la question se pose désormais de savoir quelle direction va prendre la recherche sur l’ARN en Suisse. Le nouvel NCCR sur l’ARN messager proposé par Steve Pascolo ayant été écarté, cette technologie pourrait cependant trouver un autre support avec l’entreprise Swiss Vaccine, récemment lancée par l’ancien président de l’EPFL Patrick Aebischer. […]
Comme le remarque [de pharmaco-chimie à l’ETH Zurich] Jonathan Hall, «le potentiel médical des différents types d’ARN est gigantesque. Il crée une véritable ruée vers l’or dans le monde.» La Suisse serait bien inspirée de ne pas la manquer. Et peut-être pas avec un NCCR pour faire suite à celui lancé en 2014, mais plusieurs, autour des différentes familles de cette molécule centrale de la vie.»
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