Selon l’Association pour la relève académique de la Faculté des sciences de la société à l’Université de Genève, le type de contrat et le cahier de charges des chercheurs-euses peut varier sensiblement à l’Université de Genève. Plusieurs intervenant-e-s témoignent de la précarité des contrats, qui toucherait des doctorant-e-s et des membres du corps intermédiaire, «un terrain fertile pour le harcèlement» pour certain-e-s. Selon la Tribune de Genève, «ces inégalités, le rectorat les déplore, tout en rappelant que les facultés jouissent de «beaucoup d’autonomie». «C’est à elles de faire le ménage chez elles», relève la vice-rectrice Brigitte Galliot.» Le rectorat prépare par ailleurs une charte pour mieux cadrer le doctorat.
8 Jan 2020