15 Juil 2025
Type de veille: L'UNIL dans les médias
14 Juil 2025
Revue de presse Unil 14 juillet 2025
14 Juil 2025
«La justice vaudoise enquête sur un cadre du service de sécurité de l’UNIL»
«Suite au dépôt d’une plainte pénale, le Ministère public du canton de Vaud s’intéresse à certaines dépenses douteuses effectuées au sein du service de la sécurité de l’Université de Lausanne (UNIL). Un cadre de cette unité vient d’être licencié.» (RTS)
11 Juil 2025
Revue de presse Unil 11 juillet 2025
10 Juil 2025
Revue de presse Unil 10 juillet 2025
9 Juil 2025
Revue de presse Unil 9 juillet 2025
8 Juil 2025
Revue de presse Unil 8 juillet 2025
7 Juil 2025
Revue de presse Unil 7 juillet 2025
4 Juil 2025
«L’Université de Berne tient à l’Université [hébraïque] de Jérusalem»
L’Université de Berne a, contrairement à l’Université de Lausanne, décidé de maintenir ses liens avec l’Université Hébraïque de Jérusalem, avec qui elle entretient un accord d’échanges. «L’Université de Berne veille à ce que sa recherche civile en coopération avec des universités étrangères ne puisse pas être détournée à des fins militaires», explique la rectrice Virginia Richter. Elle juge aussi que pour une université, il est souvent impossible de s’opposer officiellement à son propre gouvernement.
Par ailleurs, l’Université de Berne est en train de mettre en place une commission d’éthique centrale. Mais son objectif premier ne serait pas d’examiner les coopérations avec d’autres universités quant à d’éventuelles violations des droits de l’homme et des peuples. «Sinon, nous devrions examiner, outre les universités israéliennes, de nombreuses autres universités dans des pays qui font l’objet de tels reproches», comme les universités chinoises et turques par exemple.
La journaliste du Bund Naomi Jones soulève que l’Université de Lausanne n’aurait pas jugé sa collaboration avec l’Université de Pékin comme étant «à risque» et elle en déduit: «La fin de la coopération, par exemple en raison des violations des droits de l’homme à l’encontre des Ouïghours ou des livraisons d’armes chinoises à la Russie, n’est apparemment pas à l’ordre du jour.»
4 Juil 2025
Revue de presse Unil 4 juillet 2025
3 Juil 2025
Revue de presse Unil 3 juillet 2025
2 Juil 2025
Revue de presse Unil 2 juillet 2025
1 Juil 2025
Revue de presse Unil 1er juillet 2025
30 Juin 2025
Revue de presse UNIL 30 juin 2025
30 Juin 2025
Interview avec la présidente du Conseil de l’UNIL
Anne-Christel Zeiter-Grau, présidente du Conseil de l’UNIL, «maître d’enseignement et de recherche en français langue étrangère répond aux critiques de l’actuel recteur Frédéric Herman, dans le «24 heures» du 12 juin, et revient sur le choix de son successeur.»
27 Juin 2025
Christophe Champod proposé comme recteur de l’UNIL
«Le Conseil de l’Université de Lausanne a décidé de proposer au Conseil d’État la nomination de Christophe Champod au poste de recteur de l’Unil, pour succéder à Frédéric Herman dès le 1er août 2026. […] Conscient des défis actuels, il plaide pour un dialogue renforcé avec la société civile, son environnement et les autorités politiques.»
Le candidat recteur présenté au Conseil d’État propose un retour à l’essentiel : « Je pense qu’il est nécessaire de recentrer l’Université sur ses fondamentaux, c’est-à-dire les facultés, et de le faire avec l’ambition de l’excellence. » (UNIL)
27 Juin 2025
Revue de presse Unil 27 juin 2025
26 Juin 2025
Revue de presse Unil 26 juin 2025
26 Juin 2025
«Un nouveau coup bas pour la culture universitaire»
Ces dernières semaines, les universités de Genève et de Lausanne ont mis fin à des programmes de partenariat avec l’Université hébraïque de Jérusalem. Alfred Bodenmeier, professeur d’histoire de la religion et de littérature juive à l’Université de Bâle, co-président de l’Association for the Promotion and Support of Jewish University Members in Switzerland (JUMS), qualifie ces mesures prises par les deux universités d’un «coup bas provisoire dans le déclin de la culture universitaire suisse». Il s’agirait en effet du «résultat d’un exercice de pouvoir activiste orchestré, associé à un manque de transparence maximal dans la prise de décision».
Le professeur critique tout d’abord l’anonymat des expert·es des auteur·rices des rapports, dont il serait difficile de savoir qui ils et elles sont et pourquoi cette compétence leur a été attribuée. Il ajoute l’absence de traçabilité des sources, données ou fondements scientifiques sur lesquels reposent leurs conclusions. Il pointe enfin qu’aucune analyse n’est proposée quant à la question de savoir si des universités sont réellement tenues d’assumer une responsabilité politique pour l’action des Etats dans lesquels elles se trouvent. Il note que, de plus, la réflexion sur le rôle spécifique des universités en Israël est totalement absente.
Au contraire, le professeur salue la position des universités en Suisse alémanique, qui «s’efforcent vraiment de promouvoir le dialogue, notamment de la part des directions des universités», et au sein desquelles il n’est pas question de mettre un terme à la collaboration avec les universités israéliennes.
Finalement, le professeur considère que «la perte d’influence de ces forces destructrices» [les mouvements anti-israéliens] bénéficierait à la fois aux étudiant·es juif·ves et à la réputation académique de la Suisse. Boycotts idéologiques, atteintes à la liberté d’expression et climat oppressant nuiraient, selon lui, à un avenir universitaire prometteur.
25 Juin 2025