Les académiques handicapé·e·s rencontrent souvent des obstacles quand ils suivent des conférences. Beaucoup de bâtiments ne sont pas accessibles pour les chaises roulantes, le réseautage peut se présenter fatiguant, voire impossible pour des personnes souffrant de troubles du spectre autiste. Certaines maladies demandent des régimes particuliers, et les personnes souffrantes ne peuvent pas participer aux repas. Les comités universitaires de nomination et promotion devraient prendre ces effets en considération dans leurs décisions, estime l’auteure de l’article. L’article mentionne plusieurs mesures à prendre pour rendre les conférences plus accessibles.
5 Sep 2017