En France, l’idée d’étudier à l’étranger après le baccalauréat (équivalent en Suisse au diplôme à la sortie du gymnase) attire de plus en plus les étudiant·e·s, en raison de la baisse d’intérêt général pour les écoles préparatoires.
D’après Campus France, le nombre de bachelier·ère·s qui sont parti·e·s directement à l’étranger après le baccalauréat est estimé à 18’000. C’est le cas de Alicia Kreziak, Lycéenne à Nivolas-Vermelle, qui explique au sujet de ses postulations, «Je pouvais entrer directement dans une université aussi prestigieuse, voire plus, que HEC, alors que je ne pouvais peut-être pas prétendre à cette école après deux ans de prépa. C’était maintenant ou jamais ».