Selon un portrait de la Rectrice de l’Université de Bâle Andrea Schenker Wicki, cette dernière est très appréciée par des politicien·ne·s de tous bords et par la communauté universitaire. Elle laisse beaucoup d’autonomie pas seulement aux facultés, mais également aux politicien·ne·s souhaitant se mêler des affaires universitaires, comme le choix des sites pour les facultés. Ceci est atypique, et cela aurait été impensable sous l’ancien Recteur Antonio Loprieno. L’objectif de cette «stratégie laisser-faire» serait d’avoir des politicien·ne·s sous son emprise pour les négociations budgétaires de 2022. Ces derniers mois, elle a déjà obtenu 200 millions de CHF de fonds tiers pour le développement des sciences de la vie.
22 Oct 2018