Selon l’article de la NZZ, le Département de la communication de l’Université de Berne a développé un classement interne pour la production [d’articles] d’actualité scientifique. Les articles qui aident à positionner l’Alma mater comme université de pointe ou qui soutiennent les valeurs de l’Université (crédibilité, confiance de soi, ouverture, passion, etc.) reçoivent le plus de points et seront communiqué plus largement.
Selon l’auteur de la NZZ, «Cette «économie planifiée» de marketing («Marketing-Planwirtschaft») signifie que les résultats de la recherche communiqués par l’université sont uniquement au service de la gestion de sa réputation. […] L’Université de Berne […] franchit une ligne rouge. […] Un sujet pertinent pour la société mais qui ternit l’image de l’uni recevrait peu de points aurait peu de visibilité ou ne serait pas publié du tout. [… ] Les news scientifiques de l’Université de Berne deviendraient ainsi des fake [news].»