Des données dérobées lors de la cyberattaque qui a frappé l’Université de Neuchâtel, le 18 février, ont été publiées sur le Darknet à partir d’hier. Parmi les documents mis en ligne se trouvent des informations sur les salaires d’employé-e-s, des photos d’étudiant-e-s, des contrats de travail, mais aussi des documents médicaux sur les collaborateur-ice-s. Ainsi, il est possible de voir quelles personnes bénéficient de prestations de l’AI par exemple. Des demandes d’allocations familiales contenant des données sensibles ont également été publiés ainsi que le contenu de certaines boîtes mail.
Selon le Temps, les indices montrent qu’il s’agirait de hackers russes. Selon les pirates, les données publiés ne représentent que 2% des données volées. Pour l’heure il n’est pas encore clair si une demande de rançon avait été envoyée aux responsables de l’établissement et si des négociations ont eu lieu par la suite.