Il n’éxiste pas de chiffres au niveau fédéral sur le taux d’abandon du doctorat.
Zurich: Selon des données de l’Université de Zurich, le taux d’abandon (entre 2016 et 2021) est à 12,18% ou 18,4%, selon les interprétations.
Lucerne: A l’Université de Lucerne, il y a 393 doctorant-e-s, et dans les dernières cinq années, 127 ont abandonnés leur projet, et 63 restent plus de sept années.
Bâle: «Selon les chiffres les plus récents», le taux d’abandon à l’Université de Bâle est entre 5% et 6%. Encore en 2017, l’université a estimé le chiffre, selon sujet, jusqu’à 50%.
Berne: L’Université de Berne ne collecte pas de données sur ce sujet. Selon des échantillons aléatoires, il est supposé que le taux d’abandon est un peu moins de trois pour cent annuel.
Saint-Gall: Au semestre d’automne 2021, 11 des 600 doctorant-e-s se sont ex-matriculés.
Pour le secteur public, le taux d’abandon est une question de coûts. Et selon «l’ETH» : «L’échec fait partie de la science, tout comme les changements inattendus dans les circonstances privées font partie de la vie […] Les presque 90% des doctorant-e-s de l’ETH qui réussissent apportent une grande valeur ajoutée à la société, à l’économie et à la Suisse dans son ensemble».