Il y a un an, une doctorante de l’Université de Bâle, a accusé son directeur de thèse de harcèlement sexuel. Depuis, l’Alma mater a modifié le «règlement sur la protection de harcèlement sexuel». Entretemps, la doctorante a démissionné et le directeur de thèse travaille à nouveau.
À présent, la doctorante revendique dans son blog que le professeur lui paye un dédommagement, qu’il fasse une thérapie et que l’université fasse un travail de sensibilisation sur les «situations à risque» lors des voyages à l’étranger. Ces revendications ont été reprises par le groupe «Empört Euch» («indignez-vous»), qui a organisé un débat public sur des mesures contre le harcèlement. L’université va encore remanier son règlement et prévoit également la mise en place d’un code de conduite et un cours en ligne obligatoire pour toute collaborateur-rice de l’université.