Ce mardi (le 14.11.2017), la Commission européenne a proposé la création d’un «espace européen pour l’éducation». Jusqu’en 2025 les membres de l’Union européenne devraient veiller à ce que les obstacles lors de la reconnaissance des passages frontaliers des diplômes d’écoles, de hautes écoles et d’autres certificats de formation soient abolies.
Une autre proposition de Jean-Claude Juncker, Commissaire européen, consiste à une carte d’étudiante, sur laquelle dès l’année 2019, chaque étudiant·e qui suit sa formation à l’étranger, peut enregistrer ses dossiers académiques. La Commission européenne incite les gouvernements à côté du doublement de participant·e·s au Programme Erasmus, de faire en sorte que jusqu’en 2025 tous les jeunes Européen·ne·s, qui ont fréquenté une haute école, aient de «bonnes connaissances» dans au moins deux langues étrangères. Elle souhaite, tout comme le président français Emmanuel Macron, des universités européennes la création d’un «réseau d’universités de plusieurs pays», dont les étudiant·e·s étudieraient au moins six mois à l’étranger et dont les cours devraient être donnés en au moins deux langues étrangères.