Michael Schaepman, seul candidat retenu pour le poste de recteur de l’Université de Zurich, est interviewé par la NZZ. Sur la question de préserver la liberté de la recherche, il revient sur une affirmation de Mariya Gabriel, commissaire européenne pour l’innovation, la recherche de l’éducation. Cette dernière aurait dit que la recherche ciblée était l’une de ses valeurs [essentielles]. Michael Schaepman trouve cette affirmation délicate, car cela signifierait que la recherche au service de la société et de l’industrie suffirait. Il défend ainsi la recherche fondamentale libre et prévoit de s’engager pour la numérisation et le développement de l’infrastructure.
Par ailleurs, il envisage de remettre en question le système de chaires et encouragera la création de chaires plus petites et dynamiques.
Un autre de ses objectif serait la conciliation entre famille et carrière.