Swissinfo a publié un article qui décrit l’état actuel par rapport à l’adhésion suisse au programme Horizon Europe. ««Sans accès à Horizon Europe, il devient difficile d’attirer les esprits brillants et de maintenir la haute qualité de la recherche en Suisse», déclare Yves Flückiger, recteur de l’Université de Genève et président de Swissuniversities […]. «Nous devons réinventer de nouvelles formes de collaborations et de nouveaux modes de financement», ajoute-t-il. «Pour faire face à la concurrence, nous devons investir plus qu’auparavant à l’intérieur de la Suisse, par exemple dans de grands projets comme la recherche quantique », déclare M. Flückiger […]. Mais il prévient également que l’investissement national seul pourrait ne pas suffire. « La science est beaucoup plus ouverte qu’il y a 30 ans. Comme nous l’avons vu avec les vaccins Covid-19, le partage des données et la création de collaborations internationales sont la clé des avancées scientifiques et de la construction d’énormes infrastructures », ajoute-t-il.
Par ailleurs, le Conseiller fédéral Guy Parmelin a publié deux tweets sur ce sujet. Dans l’un, il annonce que le gouvernement bulgare soutient la pleine association suisse au programme Horizon Europe. Dans l’autre, il parle d’une rencontre avec la Commissaire européenne [bulgare] à la formation et à la recherche Gabriel Mariya. Il indique que le travail [de négociation pour la pleine association au programme] continue.