Le système éducatif doit faire face à 5 défis posés par ChatGPT: l’évaluation des étudiant·es, la fraude scientifique et la triche, l’absence de transparence sur les sources, une protection des données insuffisante et l’absence de régulation. Marika Fenley, conseillère pédagogique de l’Université de Neuchâtel (Unine), affirme que l’Unine se dit plutôt ouverte à ChatGPT, en adoptant une approche d’anticipation plutôt que d’interdiction de ChatGPT, à travers la publication de conseils pour son utilisation sur le site web de l’université. Jean-François van de Poël, directeur adjoint du Centre de soutien à l’enseignement de l’Université de Lausanne, «indique que l’université s’apprête, elle aussi, à publier des recommandations». (ARCINFO)
A l’Université de Zurich (UZH), «certaines facultés ont pris des mesures contre le Chat-GPT dès le semestre d’automne dernier». Thomas Hidber, responsable du développement de l’enseignement à l’UZH affirme que «dans ce contexte, tous les formats d’examen et les évaluations vont changer». Néanmoins, Rita Ziegler, du service de communication de l’UZH, explique qu’une prise de position de l’université n’arrivera que dans un ou deux mois. (zsonline)