Aux Etats-Unis, les fausses accusations de tricheries d’étudiants ayant eu recours à l’aide de l’intelligence artificielle sont de plus en plus nombreuses. L’auteur de l’article s’interroge sur les dispositions prises dans le monde académique suisse. Pour l’instant, les universités de Fribourg, Neuchâtel, Genève et Lausanne ne sont pas dotées de logiciels permettant de détecter l’usage de l’IA.
L’argument avancé est, qu’à l’heure actuelle, les systèmes de détection ne sont pas suffisamment fiables.