Olivier Bot, rédacteur en chef adjoint à la Tribune de Genève, a écrit un article sur la comparaison entre l’Université de Genève (UNIGE) et l’Université populaire de Genève (UPCGe). Selon lui, «depuis quelques années, l’UNIGE multiplie les signes d’ouverture et affirme sa volonté de partage du savoir et de lien avec la population de la cité, au-delà de son travail académique reconnu mondialement (elle est classée 53e au classement de Shanghai). Elle organise de nombreuses conférences de haut niveau ouvertes à un public plus large que celui de ses étudiant·e·s. Ajoutez à cela les «Cours publics» et conférences de l’Université de Genève, [l’espace] Cité seniors à l’initiative de la Ville, qui propose aux retraités des formations pratiques ou culturelles, différents cafés philo ou historiques, et le panorama semble riche. Riche mais éclaté. Et dont la palette thématique n’est au global guère plus fournie que celle offerte par la seule Université populaire de Lausanne! […] On peut rêver à un regroupement des forces, à des partenariats, à une démocratisation encore plus poussée des savoirs, à la diffusion d’un programme complet de l’offre genevoise, réunissant à l’avenir toutes les forces vives de l’éducation populaire à Genève.»