L’ancien Président de l’EPFL Patrick Aebischer met en garde contre les risques que l’initiative sur l’autodétermination ferait courir à la recherche. La possibilité d’une exclusion de la Suisse des programmes de recherche européens en cas d’acceptation de l’initiative pourrait pénaliser lourdement la Suisse sur la scène internationale. Soulignant l’importance de la qualité de la formation pour la prospérité helvétique, il affirme que l’ouverture est nécessaire pour maintenir ce niveau et conserver une capacité d’attraction de personnes compétentes dans le monde entier.
19 Nov 2018