«Certaines des bases de données les plus connues, telles que Web of Science et Scopus, sont propriétaires et offrent un accès payant aux données et aux services qui soutiennent ces mesures et d’autres, notamment les classements des universités et les facteurs d’impact des revues. Mais dans la récente Déclaration de Barcelone, plus de 30 organismes de recherche et de financement appellent la communauté à s’engager en faveur de plateformes gratuites pour tous, plus transparentes quant à leurs méthodes et sans restrictions quant à l’utilisation des données.»
L’université de la Sorbonne, qui a mis fin à son abonnement au Web of Science l’année dernière et a opté pour une plateforme ouverte plus récente appelée OpenAlex, et la journaliste du journal [propriétaire] Science Catherine Offord souligne que «certains experts s’interrogent sur leur qualité par rapport aux bases de données propriétaires à ce stade.»