L’Université de Bâle a récemment prohibé l’usage de l’avion pour les voyages universitaires inférieurs à 1000 km. A Lausanne, d’autres mesures sont mises en place pour faire baisser l’empreinte carbone. Pour rendre le train plus attractif économiquement, l’UNIL envisage en outre un portail réunissant toutes les entités de l’université afin de négocier des rabais sur la commande de billets. L’EPFL a quant à elle mené une étude dont les résultats montrent qu’un tiers de ses émissions carbone proviennent des voyages en avion ; si l’école cherche à développer les échanges par vidéoconférences, elle conduit également d’autres études pour déterminer la relation entre voyages en avion et performance académique.
28 Jan 2019