De moins en moins d’études cliniques sont menées en Suisse. Pour l’industrie pharmaceutique, cette tendance, qui menace l’innovativité du pays, est due d’une part à la petite taille de la Suisse et d’autre part à la complexité de la procédure d’approbation des recherches par des commissions d’éthique. Susanne Driessen, présidente des commissions d’éthique suisses, estime que les procédures d’approbation ont été simplifiées ces dernières années et que le nombre d’études validées devrait augmenter en conséquence.
5 Juil 2017