La composition de la «commission de prospective» a été débattue ce mercredi au Grand Conseil vaudois. Le projet de Pascal Broulis proposait de s’entourer d’expert·e·s issu·e·s de l’UNIL, de l’EPFL et de la Haute école d’ingénierie et de gestion (HEIG) afin d’aider le gouvernement à se faire une idée des enjeux auxquels il ferait face dans les vingt prochaines années, comme la Constitution du Canton de Vaud le demande (art. 72).
Le projet n’a pas passé pour diverses raisons : certain·e·s aimeraient accorder une plus grande place à la société civile. Pascal Broulis regrette cette décision: «Discuter avec des personnes des hautes écoles permet de «checker» la synthèse des grands enjeux de société.»