«De nombreux réfugiés, notamment d’Ukraine, sont bien formés. Cela a conduit à un changement de mentalité et plusieurs universités proposent désormais des cours de préparation pour les réfugiés.» Un projet pilote lancé par l’université de Berne a pour but de permettre aux personnes réfugiées en Suisse d’accéder aux hautes écoles et universités plus facilement
Les étudiant∙es réfugié∙es sont confrontés à différents problèmes. Ne possédant pas de maturité fédérale, elles et ils ne peuvent pas toujours accéder aux bancs des universités. Ensuite, toutes et tous ne parlent pas parfaitement la langue exigée pour le cursus d’étude. De plus, pour les ukrainien∙nes par exemple, leur statut de protection ne leur permet pas de rester tout au long du cursus. Elles et ils doivent parfois repartir avant que celui-ci ne soit achevé, si la situation dans leur pays est à nouveau considérée comme sûre. (Nau.ch)
Le programme, nommé «Kompass», n’a pu compter que 20 participant∙es, alors qu’il y avait 70 inscrit∙es à l’origine. «[F]inancé par la Confédération et le canton, des fondations privées et l’université», il a débuté fin août et dure deux semestres. (Berner Zeitung)
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