««Je suis ravie et fière, c’est l’éloge d’une femme scientifique sans compromission, à l’origine d’un vaccin qui a eu un impact majeur et qui a sauvé des millions de vies, s’enthousiasme Alexandra Calmy, responsable de l’unité VIH du service des maladies infectieuses des Hôpitaux universitaires de Genève. Le prix de cette femme au parcours si singulier et exemplaire, qui a poursuivi malgré tout ce que les gens pensaient de sa recherche, est un modèle qui va aider les femmes à aller de l’avant .»» (24 Heures)
Jacques Dubochet, prix Nobel de chimie en 2017, «[…] espère que la semaine des Prix Nobel réveillera les politiciens, qui ont relégué la question européenne au second plan durant cette période électorale. C’est symptomatique de la gestion à courte vue de notre politique» dit-il. Il aimerait «que le prix soit plus souvent attribué à des institutions plutôt qu’à des personnes. Dans [son] cas, il aurait été bien de le remettre à l’ensemble du laboratoire. […] Le fonctionnement actuel favorise l’ego et la gloire individuelle. Pourtant, l’aventure scientifique est une aventure humaine.» (Le Courrier)
Le journal Nature partage «[u]ne analyse [qui] montre que le délai moyen entre la publication des travaux et l’obtention d’un des prix scientifiques a presque doublé au cours des 60 dernières années. Parmi les trois prix scientifiques, c’est en chimie que le «délai Nobel» [‘Nobel lag’] est le plus long (30 ans en moyenne au cours de la dernière décennie) et en physiologie ou en médecine qu’il est le plus court (26 ans).» (Nature.com)
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