«Récemment, […] des échanges ont eu lieu entre des élèves de l’EPFL et sa direction afin que celle-ci prenne acte du climat de tension sur le campus, où les rapports de nombre entre les étudiants musulmans ou chrétiens moyen-orientaux et les étudiants juifs ou israéliens sont, comme partout, fortement déséquilibrés. »
«Des affiches annonçant une conférence intitulée «Intifada jusqu’à la victoire» accueillie dans les murs de l’Université de Genève; une manifestation co-organisée par le syndicat SUD Etudiant·e·s et Précaires à Lausanne en soutien à la Palestine; un appel des étudiants de la HEAD (Haute Ecole d’art et de design) à ce que leur direction cesse tout programme d’échange avec les universités israéliennes: les campus des hautes écoles et universités romandes sont le lieu de mobilisations pro-palestiniennes très marquées.»
Du côté de la Suisse alémanique, les rectorats ont pris le parti «d’interdire les rassemblements en soutien à la Palestine» pour éviter que les manifestations ne dégénèrent. (Le Temps)
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